1894, 16 mei
Arsène Houssaye - in: het tijdschrift Gaulois; ook
verschenen in Intermédiaire des chercheurs et des curieux
van 1896, kolom 681 |
De meest stellige verdediging van dit feit is afkomstig van een van de
Nervals vrienden, Arsène Houssaye:
La scène se passait vers 1836, dans notre hôtel de la rue du Doyenné... Gérard
nous disait :
— Après tout, il n'y a qu'un salut pour les artistes et les gens de lettres, c'est
le mariage...
Théo
prit gravement la parole pour combattre Gérard. Il ne fut pas généreux pour la mère de notre
ami, car il dit à Gérard :
— Il n'y a pas de quoi jeter des roses blanches sur les souvenirs de ton auguste
mère, puisque tout le monde sait que tu es le fils de Napoléon I.
— Soyons impersonnels, dit Gérard. J'aurais bien voulu voir ta mère... passer
la Bérésina avec Napoléon I.
On sait, en effet, que Gérard est né de cette aventure. Sa mère avait suivi son
mari, un savant chirurgien de la grande armée (lisez Etienne Labrunie)
, né à
Agen, le 12 juillet 1776, mort à Paris, le 1" juin 1859 ; en 1817, il touchait de l'Etat une
pension de 496 francs (Recueil des pensions, VI, 332), lequel avait eu le tort de
ne pas passer la Bérésina en même temps que sa femme. Aucun de nous ne mettait
doute la naissance auguste de Gérard, en retrouvant en lui le portrait en miniature
de sa mère et en se rappelant le masque de Napoléon.
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Théophile Gautier
In Intermédiaire des chercheurs et des curieux van 1902, kolom
240, wordt Etienne Labrunie de 'père putatif' van Gérard genoemd,
dit betekent zoveel als de ' veronderstelde vader'
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